• Pour célébrer le mois d'Avril, voici une chanson de Bizet que,j'avoue,je ne connaissais pas du tout.Bon, peut être pas ce que ce compositeur a fait de mieux mais un peu de legèreté ne nuit pas, n'est ce pas?  


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  • Ça, c'est la faute de Leoned (et toc!!) Il a fait dernièrement un billet sur Luis Mariano, sur Georges Guétary  et sur  Dario Moreno .Et qui dit Dario Moreno dit Jacques Brel, dit l'Homme de la Mancha.

    C'est Dario Moreno qui aurait dû endosser le rôle de Sancho Pança, ce qu'il a fait en Octobre 1968, date de la création à la Monnaie de Bruxelles. En Décembre, la troupe est à Paris au Théâtre des Champs Elysées. Hélas, Dario Moreno décède d'une hémorragie cérébrale le 1er Décembre et c'est Robert Manuel qui le remplacera au pied levé (Bravo à lui!!! ) et nous savons tous le succès qu'il rencontrera et rencontre encore dans la mémoire de ceux qui aiment Jacques Brel.

    Tout ce blabla pour vous demander: saviez vous que l'Homme de la Mancha est à l'origine une ...comédie musicale américaine? Livret de Joe Darion ,paroles de Dale Wasserman et musique de Mich Leigh

    Tout part d'une pièce de théatre écrite par D.Wasserman qui met en scène la vie de Cervantès et celle de Don Quichotte,son personnage. Présentée à la télévision puis sur scène avec succès, le metteur en scène convainc le librettiste de la transformer en comédie musicale.Voilà qui fut fait deux ans plus tard en 1965.

    Jacques Brel assiste à une représentation à New York au Carnégie Hall en 1967 et demande,ébloui, l'autorisation de l'adapter en français....Vous connaissez la suite....Il aura autour de lui Dario Moreno, puis Robert Manuel mais également cette chanteuse extraordinaire Joan Diener(1930-1976) qui fut la créatrice du rôle d'Aldonza/Dulcinéa .Petite anecdote: sa voix avait une étendue vertigineuse de  3 Octaves 1/2 ......

    Je vous laisse découvrir cet Homme de la Mancha,la comédie musicale.Evidemment, nous ne pouvons que comparer avec Jacques Brel qui brûlait littéralement de l'intérieur...Mais tout de même , quelle chose extraordinaire que le Net qui nous permet de retrouver des trésors...Non? 

     

    Je ne peux pas m'empêcher de mettre le final français (Avec Joan Diener qui ne parlait pas un mot de français!!) Sortez vos mouchoirs........


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  • Le crabe a encore gagné la partie et nous enlève un artiste complètement déjanté, hors sentiers battus. Il agaçait, exaspérait, ou bien ,au contraire, enchantait. Avec lui, point d'indifférence en tout cas.

    Un article sur le même sujet est chez Leoned. Il a mis un autre extrait alors n'hésitez pas à lui rendre visite et découvrir son univers.

     Jerôme Savary, touche à tout , souvent avec bonheur, souvent avec limite mauvais goût, mais toujours tendresse, humour. Avec lui, il fallait enlever ses oeillères, ce qui n'est pas mal en soi. On sortait secoué , le sourire aux levres et le rêve plein la tête.

    Un tout petit tour, LA, de carrière et puis un extrait de sa Périchole.Moi qui l'ai jouée de façon classique, j'ai été déroutée tout d'abord en puis ensuite... un grand éclat de rire. Irrévérencieux , démesuré, provocateur mais finalement, j'aurais du mal à revoir cette oeuvre que j'adore montée d'une façon conventionnelle 

    Le Monsieur au costume militaire blanc est Jérôme Savary himself...Je vous ai mis le final de l'Acte I mais il y a d'autres extraits sur Youtube 

    Petit message perso: Leoned...Là, tu aurais besoin de klennex mais pour essuyer tes larmes de rire....


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  • Je repense tout d'un coup que nous sommes le 1er Février et qu'il y a un rendez vous que je néglige depuis très longtemps..Celui de Patricia.Je vais essayer de me rattrapper...

    (clic)

    Il était une fois, une petite (clic) qui voletait deci dela, cahin caha et s'était posée sur une très jolie vidéo.

     

     

    Une  (Clic) au teint lumineux et velouté rendit visite à cette gentille mouche (Oui, je sais, comment a t elle fait puisqu'elle n' a pas de jambes? Imaginez le!!  )

    et tomba sous le charme de la dite vidéo.Ni une ni deux, elle décida de partager avec ceux qui venaient la voir en son jardin.

    Voletant gaiement vers son amie, un   a son tour décida d'en faire profiter les autres quatre ou  deux pattes qui lui donnaient le plaisir d'une visite.

    Et c'est ainsi que de naturelle, cette histoire devint musicale.....

     


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  • Pour changer,un peu de musique classique.Un compositeur, une symphonie, un chef. Je n'aime pas tout chez ce compositeur un peu trop "teuton" (excusez moi de l'expression mais je ne parviens pas à en trouver une autre...Des suggestions?? Je suis sûre que certain(s) et certaine(s) d'entre vous vont se prêter à ce petit jeu) .Certains chefs accentuent d'ailleurs cet aspect de Beethoven, dommage.Encore une fois selon mes goûts.

    Pourquoi ce mouvement de la 7eme? Parce qu'à chaque fois que je l'entends je suis au bord des larmes, bouleversée , retournée.On est devant l'indicible, le sublime, qui prend aux tripes. A ce propos j'ai encore en mémoire la bande annonce de ce merveilleux film qu'est Les Hommes et les Dieux. Elle était basée sur ce mouvement que vous allez entendre...J'étais en transe en la regardant, le morceau avait été merveilleusement choisi.Quand je suis allée au cinéma, et bien, pas du tout ça!! C'était un tout autre morceau mais l'impact a, sur moi, été le même car lui aussi me bouleverse...Et c'est un des rares moments du film où on entend de la musique...

    Je reviens à la 7ème de Beethoven.Composée à 42 ans , en même temps que la 8ème ,elle est structurée en 4 mouvements. Beethoven la surnommait la grande, en comparaison avec la 8ème , plus courte. A la création , l'allegretto fut bissé dans son intégralité alors que Beethoven l'avait, parait il , dirigée de manière hasardeuse.

    La symphonie  fut utilisée comme support de bande son de multiples fois .Vous pouvez aller  sur Wikiedia pour en avoir la liste.

    Kleiber, un chef que j'admire, venère.Un homme d'une grande sensibilité, au phrasé élégant,qui met  en équilibre les divers pupitres, ne laissant pas les cuivres écraser les autres.Il maitrise son orchestre de manière parfaite, laissant ainsi s'exprimer toute la beauté de la musique de Beethoven,la délicatesse parfois oubliée.

    A l'écoute de ce mouvement, on ne peut qu'admirer , se laisser aller au sublime, presque se recueillir et laisser un grand silence se faire quand la dernière note s'éteint.

     


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