• Naissance d'une communauté

     

     Plantes  vertes et fleuries en folie

     

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  • Coup de coeur,  il y a quelques mois, pour cette plante pleine de chaleur et de rayonnement

     

    Bien entendu il a fini par défleurir et je me demandais si je réussirais à lui faire repousser ses hampes splendides.... Apparemment il a entendu mes prières...Ira t il au bout?


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  • Il y a quelques mois( Février ou Mars) j'ai fait l'acquisition d'un HOYA CARNOSA .

     

     

    A entretenir comme les orchidées...Comme soeur Anne je ne voyais ...aucune floraison venir ...mais rendue patiente par les orchidées qui ,c'est bien connu n'en font qu'à leur tête..,je continuais à l'arroser....et puis ,ayant peur pour lui car de vilaines cochenilles repassaient à l'attaque des orchidées je l'ai changé de pièce ...Et un jour....

     


     

    Puis


     

     

    Vue d'ensemble


     


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  • Nom : Kusberg. Prénom : Lorelei. Symptômes : cauchemars à répétition. Chaque nuit, depuis qu'elle a survécu à l'incendie qui coûta la vie à son père, la jeune fille a les mêmes visions atroces : du sang sur la neige, une femme mutilée. Au centre psychiatrique de Gdansk, en Pologne, les médecins sont dans l'impasse. Seul Ludovic Lardennois, spécialiste en analyse de rêves appelé à la rescousse, semble pouvoir rétablir le contact... Car les visions de Lorelei ont pris corps et les cadavres s'accumulent. Lardennois s'en convainc bientôt: l'incendie et la mort du Pr Kusberg ne sont pas étrangers à ces meurtres. Bientôt mis sur la piste d'une mystérieuse "Chambre d'ambre ", chef-d'oeuvre ayant appartenu à Catherine II de Russie et volé par les nazis, Lardennois tente de percer le voile de l'illusion...


    Oui je sais ça fait bien longtemps que je ne vous ai pas parlé de livre..ça vous manquait? En fait je l'ai fait dans un acte de pure charitépour ...Kikinette...Sinon sa pauvre CB...

    Alors que dire de ce policier? Je ne le qualifie pas de "thriller",pas assez de sang pour ça...LOL mais en tout cas il est bien mené,l'intrigue qui se noue avance sans temps mort et la fin nous laisse pantois ,d'autant plus pantois qu'au début du livre on avait un indice qu'on lit,bien sûr, et pour autant qu'il soit bizarre il n'attire pas spécialement notre attention.Ce n'est qu'à l'épilogue qu'on se dit:" Mais bon Dieu mais c'est bien sur...."
    Et puis l'ambre c'est tellement magique! ça me rappelle mon voyage en Pologne (le livre s'y passe mais à Gdansk alors que je suis allée à Varsovie et à Cracovie) ,moment particulier où j'ai découvert deux villes dans lesquelles je me suis sentie tout à fait à l'aise malgre la barriere de la langue...Cela dit,certains mots sont assez proches de nous ,ce qui me laisse songeuse...
    Il faudra que je vous fasse découvrir ce que j'y ai vu.Il y a de véritables merveilles là bas.
    En résumé:Livre à lire qui se dévore presque d'une traite et si vous aimez être menés par le bout du nez....il est pour vous!!


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  • Bien souvent quand je lis des polars je me pose la question: Les auteurs ont ils tout inventé ,et là,on peut se demander s'ils ne sont pas des tueurs en puissance mais leurs inhibitions ne sont pas levées...ou est ce qu'ils puisent l'inspiration avec des cas de serial killers qu'ils étudient aux fins de leurs romans?

    Il y a peu je vous ai parlé d'un thriller qui mettait en scène un cannibale( LA et LA ).Dur n'est ce pas d'imaginer que cela puisse exister même si nous avons eu des exemples de temps à autres de tueurs perpétrant cet acte contre nature ,du moins dans nos civilisations?

    Et bien je viens de lire un article sur le Point ,que je vous livre....

     

    Acte de cannibalisme : trente ans de prison requis contre Nicolas Cocaign

    AFP

    Acte de cannibalisme : trente ans de prison requis contre Nicolas Cocaign

    Nicolas Cocaign © BEAUFILS/SIPA

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    L'avocate générale de la cour d'assises de Seine-Maritime a requis, jeudi, trente ans de réclusion criminelle assortie d'une peine de sûreté de vingt ans à l'encontre de Nicolas Cocaign, accusé d'avoir tué et mangé un morceau de poumon d'un codétenu. "Un homme qui bascule dans l'horreur n'est pas nécessairement atteint de folie", a affirmé Élisabeth Pelsez en estimant que le discernement de l'accusé était "altéré", mais pas "aboli" au moment des faits, le 2 janvier 2007, dans une cellule de la maison d'arrêt de Rouen.

    Elle s'est ainsi conformée aux conclusions de la majorité des experts (cinq sur sept) qui, la veille, avaient dit à la barre que Nicolas Cocaign, 38 ans, souffrait de troubles psychotiques, mais restait partiellement responsable de ses actes. Elle a souligné qu'elle tenait compte de leurs avis pour ne pas requérir la peine de réclusion criminelle à perpétuité prévue en pareil cas.

    Elle s'est dite en revanche "sceptique" sur les conclusions des deux experts qui se prononçaient en faveur de l'irresponsabilité pénale de l'accusé et de son placement en hôpital psychiatrique. "De quelle assurance dispose-t-on quand un certificat d'un médecin psychiatre suffit à lever une mesure d'hospitalisation d'office ?" s'est-elle interrogée. Elle a insisté auprès des jurés pour qu'ils prennent en compte les deux chefs d'accusation qui pèsent sur l'accusé, "l'homicide volontaire" et "les actes de torture et de barbarie" commis envers Thierry Baudry, 31 ans. "Ce ne sont pas des violences habituelles comme on en rencontre dans une rixe ou dans une bagarre qui tourne mal", a-t-elle dit.

    Le procès de Nicolas Cocaign, commencé lundi, doit se poursuivre dans l'après-midi avec la plaidoirie de la défense et la délibération du jury. Le verdict est attendu dans la soirée.


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